Installation au Salon Parcours d’Artistes à Pontault Combault (77).

Au sol, une croix en tissus noir sur laquelle sont dessinées à la peinture blanche des fleurs cellules et des machines célibataires (Picabia) ; quatre fenêtres y sont tracées sur lesquelles sont posées quatre sculptures :

– Un  bas relief bi-face en sipo d’1,40m en forme de statuette funéraire cycladique.
L’une des faces  est une représentation de machines célibataires  d’où irradient des fenêtres, métaphore de Babel…
Cette forme est surmontée d’une colonne vertébrale qui tient une tête au  visage de Venus (peut-être ma grand-mère). Vision d’Allât, déesse de la fécondité et de la féminité vénérée en Arabie à l’époque pré-islamique.
Sur l’autre face au centre, le Lion (un des  visages d’Allât), roi des animaux, accueillant entre ses pattes une antilope d’où s’échappent des fleurs cellules.  Au-dessus, un symbole de la transcendance emprunté aux indiens d’Amérique du Nord.

– 2 petites statuettes funéraires en poirier à la manière des Cyclades,  les bras croisés sur le ventre et recouvertes de fenêtres.

-Un cavalier Babel a la manière antique.

A propos Philippe PARRINELLO

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