Avec une nouvelle robe saturée de graphisme, La Pasquina rejoint maintenant la série des pièces retouchées.
Avec une nouvelle robe saturée de graphisme, La Pasquina rejoint maintenant la série des pièces retouchées.
La Pomone : Femme Jardin
Cèdre
Elle tient dans ses mains une amande géante (symbole de fécondité) ornée d’une serrure simple percée d’une meurtrière.
Elle porte une robe fleurie.
La Femme comme une ressource …
Ce sera La Pomone.
L’Elu « retouché »
Bois de cerisier peint en noir et blanc
Vanité « retouchée »
Bois de platane peint en noir et blanc
Ces deux pièces s’ajoutent à la série ou « famille » des sculptures peintes en blanc et recouvertes d’éléments graphiques symboliques.
La présence des petites fenêtres ou « vedutes » cherche à marquer l’appartenance au Territoire des Corps de bois …
Film d’Archives (2006) retrouvé dans le grenier …
Traduction du commentaire
Je présente dans ce film quelques unes de mes œuvres. Je pense qu’elles rendent compte au mieux de mon parcours ces 10 dernières années … Mes thèmes, mes formes, mes couleurs et l’intérêt particulier que je porte au bois. En quelques mots, voici comment je définis ma personnalité et mon travail :
Pour lire la suite : Murmures 2006
Femme majestueuse en orme lasurée de blanc et recouverte de petites fenêtres tracées au feutre…
Une onde part de sa main.
Pontault-Combault, vendredi 19 avril 19h30 …
Pendant la présentation, du sable sorti d’un seau suspendu s’écoule sur la sculpture et les dessins posés à ses pieds … Signe du temps qui passe …
Exposition Le désemploi du temps à voir jusqu’au samedi 20 avril
Les Passerelles Pontault-Combault
Exposition Le désemploi du temps du 9 au 25 Avril Les passerelles à Pontault-Combault (77)
Exposition collectives
Notes pour l’exposition :
Le travail plus que des mots, c’est avant tout des gestes. Le travail laisse des traces. Ces installations sont une vision métaphorique de mon travail.
Le Somnambule, les bras levés, marche sur un gouvernail. Quête du sens, parfois hasardeuse ou mécanique. Pourquoi ai-je pris telle direction ? Fais tel choix ? Questionnements intérieurs sur ces choses que l’on exécute sans être présent à soi même. Si le somnambule dort debout, l’artiste s’emploie à structurer son temps, pour éviter la marche automatique et trouver un sens dans ce qui file inconsciemment.
Le Porteur (ou Atlas) n’a pas de visage, il sort du sol. Au dessus de lui, du sable s’écoule. C’est le temps qui passe. Absurdité des choses, vacuité des efforts, contraintes, auxquels l’artiste s’oppose avec courage, abandon, volonté ou foi.
Cette œuvre c’est l’homme, l’artiste qui cherche à tendre vers un absolu.
Dans ma vie, le temps de création est très structuré. La pratique artistique n’est pas hors du temps. Elle s’insinue dans le rythme du quotidien.
Ma sculpture, ma peinture, implique une rigueur, une discipline et un emploi du temps parfois sévère.
Le désemploi du temps c’est le rêve.
Je le construis tous les jours pour habiter ma vie de ma pratique.
Mon travail artistique déploie une petite mythologie personnelle. Mes personnages, leurs attributs, leurs signes, cherchent à constituer un ensemble, « les corps de bois « , peuplant un territoire imaginaire, petit monde parallèle qui réfléchit le nôtre.
Mes sculptures installées sont des moments de ces réflexions
Femme en cèdre polychrome dessiné
Notes de mon journal :
Après quelques mois de changement d’atelier et de changement de vie. Je reprends enfin ma production artistique …